Voici la bête! Le monstre, grâce à qui je suis allée à Moscou!
Après 1h d'escale à Francfort, 5h d'avion et une traversée du continent européen ... Moscou, enfin!
À l'aller, attérissage à l'aéroport de Domodedovo (Домодедово), situé au sud-est de Moscou.
À l'arrivée, il a fallu en premier lieu passer la douane. Un véritable parcours du combattant car les files d'attentes sont établies de telle sorte qu'au final, c'est du chacun pour soi. Durée d'attente à la douane: 2h.
Pendant ce temps là, les valises tournaient allègrement sur le tapis, dans l'attente que l'on vienne les chercher. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'une fois passée la douane, je découvre ma valise seule, au beau milieu des couloirs, à la portée de tous et surtout pouvant être considérée comme un paquet suspect. En fait, les employés ne s'étaient pas embêtés. Tout bagage sur le tapis roulant, non récupéré dans une limite de temps probablement inférieur à celle de la cuisson d'un oeuf à la coque, est tout simplement laissé pour compte au beau milieu des passagers de l'aéroport. Assez bizarre pour un lieu d'échange international.
-> Première approche ratée!
L'aéroport se trouvant à 40km environ du centre-ville de Moscou, il est conseillé de prendre l'aéroexpress (train à grande vitesse) pour s'y rendre plutôt que le taxi (320Rb pour le train, correspondant à environ 8€). Celui de l'aéroport de Domodedovo nous amène à la station de métro Paveletskaia (Пaвeлeцкaя), permettant de récupérer les lignes 2 et 5 du métro.
L'aéroexpress est très certainement la meilleure manière de découvrir pour la toute première fois les différents paysages de la région de Moscou.
Les premiers que j'ai pu observé ont été ceux de la campagne russe: des petites fermes entourées de maisons familiales, de champs et de forêts. Cela semblait serein, calme ... puis arrive la banlieue de Moscou. Je ne m'attendais pas vraiment à ça. C'est vrai que c'est très différent des villes européennes ou américaines que j'ai pu visiter jusqu'à présent (différents dans le sens où le paysage et l'atmosphère semblent être restés figés à travers le temps).
Par exemple, rien qu'en observant les barres d'immeubles ressemblant à nos HLM, on peut ressentir une partie de l'atmosphère ou de l'ambiance qui planait à l'époque du mur de l'URSS. Ça fait vraiment bizarre, surtout lorsque l'on n'a pas vécu cette période mais que l'on en a entendu parler en cours d'Histoire ou au travers de documentaires.
L'arrivée à l'hôtel a été un vrai parcours du combattant. En effet, l'établissement où j'ai résidé n'était pas facile à trouver, même pour les moscovites, ainsi qu'avec une adresse et un numéro de téléphone. De plus, même en sachant déchiffrer le cyrillique, brabouiller trois mots et une phrase, les chauffeurs de bus et les employés de métro ont été incapables de nous aider (on peut même dire pas très enclin). Quant aux taxis, je n'ai pas su déterminer les signes distinctifs qui tapissent leurs voitures. Ce n'est finalement qu'après plusieurs heures de recherche et l'aide bienvenue d'un retraité, que j'ai pu trouver l'hôtel.
L'aéroexpress est très certainement la meilleure manière de découvrir pour la toute première fois les différents paysages de la région de Moscou.
Les premiers que j'ai pu observé ont été ceux de la campagne russe: des petites fermes entourées de maisons familiales, de champs et de forêts. Cela semblait serein, calme ... puis arrive la banlieue de Moscou. Je ne m'attendais pas vraiment à ça. C'est vrai que c'est très différent des villes européennes ou américaines que j'ai pu visiter jusqu'à présent (différents dans le sens où le paysage et l'atmosphère semblent être restés figés à travers le temps).
Par exemple, rien qu'en observant les barres d'immeubles ressemblant à nos HLM, on peut ressentir une partie de l'atmosphère ou de l'ambiance qui planait à l'époque du mur de l'URSS. Ça fait vraiment bizarre, surtout lorsque l'on n'a pas vécu cette période mais que l'on en a entendu parler en cours d'Histoire ou au travers de documentaires.
L'arrivée à l'hôtel a été un vrai parcours du combattant. En effet, l'établissement où j'ai résidé n'était pas facile à trouver, même pour les moscovites, ainsi qu'avec une adresse et un numéro de téléphone. De plus, même en sachant déchiffrer le cyrillique, brabouiller trois mots et une phrase, les chauffeurs de bus et les employés de métro ont été incapables de nous aider (on peut même dire pas très enclin). Quant aux taxis, je n'ai pas su déterminer les signes distinctifs qui tapissent leurs voitures. Ce n'est finalement qu'après plusieurs heures de recherche et l'aide bienvenue d'un retraité, que j'ai pu trouver l'hôtel.
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